Un hiver rigoureux

Sous les couches de vêtements

Tiens, tu rentres plus tôt que d’habitude… T'as ramené avec toi un courant d’air glacé qui s’infiltre jusque dans mes vêtements. Par la fenêtre, je vois que tout est recouvert d’une épaisse couche de neige. C’est la première fois qu’on traverse un hiver aussi rude… Je me lève du canapé, vais remettre une bûche dans la cheminée qui crépite, essaie de faire repartir le feu. Tu passes la tête dans l’embrasure de la porte, et tu m’adresses un sourire irrésistible. Tes lèvres sont bleuies par le froid, et tes yeux sont légèrement brillants à cause des bourrasques qui font rage dehors. Il y a plein de petits flocons collés sur tes joues et tes cils, qui viennent faire briller ton visage. Ça me donne envie de venir les ôter à coups de langue… Je te regarde défaire ton manteau, enlever tes bottes, ton écharpe… J'adore deviner ton corps et distinguer des parcelles de ta peau sous les couches de vêtements, que tu enlèves une à une. Tu laisses tout en vrac à tes pieds, puis t'approches de moi lentement, avec un sourire en coin. Qu’est-ce que tu manigances ?

Tu prends les devants

Tu viens te coller à moi, et me confie avoir attendu toute la journée de pouvoir me retrouver pour que je te réchauffe. Je te prends dans mes bras, respire ton parfum dans le creux de ton cou. Tu es toute fraîche… Je t’embrasse, te frictionne vigoureusement les bras, le dos… Tu ris et me repousses en râlant. Je te demande taquin : « Quoi, je m’y prends mal ? ». Tu m’adresses un regard malicieux, ne dis rien. Puis, tu t’avances vers moi, poses ta main sur mon torse, et me pousses lentement vers le canapé situé derrière moi. Tu as relevé le menton, et me regarde de haut, d’un air fier et strict. J’adore quand tu prends les devants, quand tu deviens autoritaire… Tu avances d’un pas décidé, me guides avec force et fermeté, et je ne peux que t’obéir. Tu me fais m’asseoir, et restes debout face à moi, les mains sur les hanches. Tu dégages une énergie incroyablement sexy, qui me laisse bouche bée et m’hypnotise. Tu te penches vers moi, passes ta main sur mon visage, caresses ma nuque… puis attrapes mes cheveux et tire progressivement dessus. Tu me forces à incliner la tête et à me pencher. Tu veux que je m’allonge sur le canapé, alors je m’exécute, soumis à ton désir. Avec lenteur, tu enlèves tes collants et ta culotte, tes yeux plantés dans les miens. Tu relèves ta robe, m’enjambes et t’accroupis vers mon visage… De là où je suis, je peux apercevoir ta chatte entre les plis du tissu, ouverte et légèrement humide. Je n’ai qu’une envie : être sous toi, coincé entre tes jambes, étouffé par ton sexe. Il n’y a rien qui m’excite plus que de me faire écraser par toi et enfouir ma langue dans tous tes trous. Tu le sais très bien, et tu joues avec ma patience. Tu t’immobilises à quelques centimètres de ma bouche avide. Tu m’observes en souriant d’un air moqueur tandis que je m’impatiente. Je te chuchote, à bout : « Viens, s’il-te-plaît ».

Ma langue entre tes fesses

Tu t’assieds complètement sur mon visage, et avec ma langue je m’empresse de venir lécher l’intérieur de ta vulve, d’avant en arrière. Je vais et je viens d’abord doucement, puis avec de plus en plus de vigueur. Je m'arrête sur ton clitoris, l’aspire délicatement entre mes lèvres, le lèche, et sens qu’il se durcit petit à petit sous ma langue. J’ai l’impression d’être dans une bulle d’obscurité, le visage caché sous ta robe. De là où je suis, les bruits extérieurs me paraissent lointains. J’arrive à peine à t'entendre gémir : coincé entre tes cuisses, je suis presque sourd et aveugle, entièrement concentré sur ton plaisir. Je bande sévère, et j’ai tellement envie de toi que c’en est presque douloureux… J’attrape tes fesses pour t’immobiliser au-dessus de moi, et m’enfonce dans ton vagin avec ma langue. Je savoure ton goût légèrement salé, essaie d’aller toujours plus profond… Je t’entends crier de plaisir, maintenant. Je continue sur ma lancée. Je remonte vers ton clitoris, effectue de petits mouvements circulaires du bout de la langue sur ce point sensible, et te sens te cambrer et te presser davantage contre mon visage. Je suis recouvert de salive et de mouille, et je peine à respirer correctement… C’est absolument parfait. Tu ondules au-dessus de moi, dans un mouvement de balancier qui me rend fou. Avec ma langue, je vais m’aventurer encore plus bas, vers ton anus… Oh putain, c’est tellement bandant, de te sentir doucement te détendre à mesure que je te lèche. Ton sphincter se relâche petit à petit, et je ne pense plus qu’à une chose : insérer ma queue dans ton cul, te baiser jusqu’à ce que tu n’en puisses plus…

Rythme effréné jusqu’à l’orgasme

Tu te relèves, le souffle court, te retournes et te penche fébrilement vers mon entrejambe. Tu déboutonnes mon pantalon avec précipitation, passe un grand coup de langue sur ta main pour la lubrifier, et attrape ma bite. Tu la branles avec fermeté, et je dois déjà prendre sur moi pour ne pas jouir. Toujours en me tournant le dos, tu viens t’asseoir sur ma queue, la dirige vers ton anus… oh… J’entre dans ton cul et suis submergé par le plaisir. T’es si serrée que ma bite est pressée de toutes parts, et chaque mouvement me procure des sensations incroyables. J’ai une vue imprenable sur tes fesses magnifiques, que j’attrape tandis que tu bouges dans un rythme effréné. Tu m’entraînes dans un va-et-vient de plus en plus rapide et fluide : je te sens complètement détendue, et je glisse en toi chaque fois plus profondément. Oh, bordel, qu’est-ce que t’es bonne… Tout ton corps se raidit et tes jambes resserrent leur étau autour de mes hanches. Tes cris de jouissance m’étourdissent, et je sens que je vais venir aussi… Oh oui… C’était dingue. J’en ai le tournis. T’es à bout de souffle, toi aussi, et tu te retournes vers moi pour m’adresser un grand sourire. Ton visage a retrouvé ses couleurs. Le froid n’est plus qu’un mauvais souvenir…