Un trio orageux

De l’électricité dans l’air

Je te sens nerveuse en cette fin de journée, presque électrique. Toi, d’habitude si calme et organisée, ne sembles plus savoir où donner de la tête. Madame reçoit ce soir. Je vais enfin rencontrer ta nouvelle collègue. À force d’en entendre parler, je suis aussi un peu excité à l’idée de la connaître. Je sens quelque chose dans l’air, comme de l’orage, le temps est lourd, le ciel chargé. Je t’observe du coin de l’œil pendant que je prépare la salade et des boissons. Je te sers un verre que je te propose pendant que tu t’habilles. Tu refuses, l’air préoccupé. Tu t’arrêtes brusquement, et me dit avoir un aveu à me faire : tu as embrassé ta collègue à la fête de l’entreprise. Je te réponds, en riant : « Mais c’est pas grave, je trouve ça même plutôt sexy ! » . Tu me fusilles du regard : j’ai l’impression que ma réaction te surprend. Je n’ai pas le temps d’ajouter quoique ce soit : on sonne à la porte. Tu te précipites pour accueillir ta fameuse collègue. Ta fébrilité m’intrigue. L'invitée te salue, se présente à moi, à l’aise, me tend un gâteau qu’elle a préparé pour l’occasion. Elle a une démarche assurée qui me trouble. On passe au salon. Elle s’assoit sur le canapé, et toi, à ses côtés. Je commente la météo, elle rétorque qu’elle aime bien quand le ciel est chargé comme ça : ça veut souvent dire qu’il va se passer quelque chose d’inattendu. Toi, tu es plutôt réservée. Tu observes, les sourcils froncés comme si tu avais quelque chose en tête. Soudain, tu rétorques à ton amie être presque déçue que je ne sois même pas jaloux de votre baiser. Elle est surprise, esquisse un sourire et se tourne vers moi pour me chuchoter que « pourtant, c’était chaud… ». Je l’encourage d’un « Ah bon ? », amusé. Tu acquiesces d’un léger hochement de tête, et me demande si je veux une démonstration. J’ai du mal à comprendre ce qu’il se passe. Tu te tournes vers ta collègue et l’embrasses à pleine bouche. Je vois vos langues qui s’emmêlent. Je bande immédiatement. Tu te tournes vers moi et me demandes si j’en veux encore. Tu vois mon regard et n’as pas besoin d’un entendre plus. Tu recommences à embrasser ta collègue. Tes mains la pelotent avec de plus en plus d’insistance. Vous vous frottez l’une à l’autre. Bon sang, qu’est-ce que vous êtes bonnes…

Mets-la moi !

Tu ouvres son chemisier, regardes sa poitrine avec gourmandise. Tu y plonges tes deux mains et lui malaxes les seins tout en continuant à l’embrasser. Je te sens excitée comme jamais, et j’adore te voir dans cet état. Je bande encore plus dur… Notre invitée a l’air dans son élément. J’ouvre mon pantalon et commence à m’astiquer. Je crache dans ma main pour lubrifier. Elle passe la main entre tes jambes, et remonte sous ta jupe. Tu émets un gémissement de plaisir qui m’électrise. Elle vient de te mettre un doigt. Tu m'observes, les yeux fiévreux, le regard presque sombre. Tu me fais un effet dingue. Elle s’agenouille devant toi. Tu écartes les cuisses bien large et poses tes pieds sur la table basse. Tu te tiens bien cambrée sur le rebord du canapé, la tête rejetée en arrière. Tu pousses un soupir de plaisir au contact de sa langue sur ton clitoris. Je continue de me branler sans te quitter des yeux. Tu poses ta main sur sa tête et la presses encore plus contre ta chatte. Je la vois qui ondule. Sa jupe est remontée, son cul s’agite. Elle se doigte en même temps. J’ai envie de te baiser. Je me lève et retire la table basse. Je me mets derrière ta collègue. Elle a relevé son cul et le balance de gauche à droite. Je passe mon doigt le long de son string et joue un peu avec. Je me branle un peu plus fort. Elle ondule de plus en plus et se cambre. Elle soupire, me demande de la lui mettre. Je t’entends gémir encore plus, lève les yeux vers toi : tu me regardes, un sourire aux lèvres. Putain, tu m’excites. Je baisse son string et enfonce ma bite dans sa chatte bien mouillée. Je remonte ma main jusqu’à son cou. Je relève sa tête en arrière, tout en faisant des aller-retour avec ma queue dans sa chatte, bien lentement. Elle gémit. Tu viens l’embrasser à nouveau, tu me regardes en même temps. Ses mouvements s’accélèrent. Sa langue s’enfonce plus profond dans ta gorge. Elle vient te mettre deux doigts, puis trois, puis quatre. J’accélère mes mouvements de bassin. Ils deviennent plus saccadés. Oh oui, c’est bon putain…

Te regarder jouir

Tu m’ordonnes de l’embrasser, dis être curieuse de voir comment je la baise. Je lui relève le buste, ma bite toujours enfoncée dans son sexe. Je lui tourne la tête et lui fourre ma langue dans la bouche pour que tu vois bien. Je descends aussi ma main vers ses seins que je malaxe. Bordel, elle me fait bander comme jamais. Je lui donne des coups de bassin de plus en plus fort. Tu t’es assise et tu te branles. Je vois tes doigts qui s’enfoncent dans ta chatte et qui jouent avec ton clito. Tu te doigtes frénétiquement en poussant des grognements. J’imagine être dans ta chatte. Ça m’excite, tu peux pas savoir, que tu me voies baiser une autre. J’ai envie qu'elle te branle. Je la fais basculer vers l’avant. Elle se retrouve face à ta chatte béante et tes doigts qui pianotent. Elle sort sa langue et te lèche le clito, puis te mets deux doigts. Je fais des cercles avec ma bite. Je lui claque le cul. Tu bascules les jambes en arrière, vers ta tête, et lui présente ton cul. Elle y met tout de suite la langue, puis y insère un doigt. Putain, j’ai tellement envie de t’enculer. Elle enfonce son pouce plus loin dans ton anus, tu gémis fort et ondules de plus en plus vite. Elle te lèche la chatte en même temps, avide. Elle aime ça. Je regarde son cul, lui écarte les fesses et enfonce un doigt dans son anus. Elle me supplie de la prendre par derrière. J’enfonce ma bite dans son cul, tout entière, jusqu’au fond. Elle se balance d’avant en arrière. Je la lui mets bien profond comme elle veut. Tu t’agites de plus en plus, tes mouvements sont de plus en plus amples, intenses, violents. Je t’entends gémir de plaisir. Tu te cambres en maintenant son pouce dans ton cul. Tu cries. Je ne tiens plus. Te voir atteindre l’orgasme sans te toucher… Je viens à mon tour. Elle se cambre en même temps et gémit de plaisir. Je m’allonge sur le tapis, ton amie aussi, toi sur le canapé. On se regarde et on éclate de rire, surpris par ce qu’il vient de se passer.