Rendez-vous "professionnel"

Une excuse pour la revoir

Qu’est-ce que je vais bien pouvoir inventer comme excuse pour la convaincre de venir me voir au bureau ? Je vais lui envoyer un mail pro. De toute façon, j’ai pas le choix, je n’ai pas son numéro. Elle va certainement se douter que je ne la contacte pas uniquement pour des raisons professionnelles… Au moins, si elle répond à mon invitation, cela voudra dire qu’elle a sans doute envie de me revoir, autant que moi j’ai envie d’elle, à nouveau dans mes bras. J’arrête pas de repenser à elle. Il n’y a qu’avec elle que ça se passe comme ça. Entre nous, c’est presque animal. Et bon sang, ça s’est passé si vite. J’ai même pas eu le temps de dire « ouf » qu’elle était déjà partie. Et quand je pense qu’elle est mariée… Si ça se trouve, c’était juste un écart de sa part, et ça ne se reproduira plus. Mais savoir qu’elle est en quelque sorte inaccessible… J’avoue que ça m’excite encore plus. C’est mal, je sais… Oh wow, elle a répondu. Elle va passer, dans une heure. Son message est un peu froid. Peut-être qu’elle veut simplement mettre les choses au clair, me faire comprendre que ça ne se reproduira pas et qu’elle regrette. On toque à la porte. Je vois son joli visage apparaître dans l’entrebâillement. Elle me dit qu’elle était dans le coin. Je l’observe un instant de dos, sa nuque, ses épaules… Je lui propose un verre d’eau. Elle accepte. J’entreprends de lui expliquer tant bien que mal ce sur quoi je travaille en ce moment et pourquoi j’ai besoin de son aide. Elle me regarde avec ses grands yeux interrogateurs. De temps à autre, elle croise et décroise les jambes… Elle m’hypnotise et me fait perdre mes moyens. J’ai juste envie de la toucher, l’embrasser… J’ai l’impression que tous ses gestes sont calculés, qu’elle ne laisse rien au hasard. Elle sait qu’elle m’impressionne. Elle l’a toujours su. Tout à coup, elle se lève, s’approche tout près de moi, se penche sur mon oreille et souffle « Je sais pourquoi tu m’as fait venir ». Elle lèche mon lobe de la pointe de sa langue, ça ne dure qu’une seconde… Je bande déjà. Je reste immobile, suspendu à ses gestes.

Jouir sans la pénétrer

Elle s’assoit lentement sur le bord de mon bureau et écarte les jambes très doucement, en me regardant bien droit dans les yeux. Elle remonte sa jupe plus haut sur ses cuisses pour pouvoir les écarter encore plus. Elle porte une culotte en dentelles, légèrement transparente. Je devine sa vulve gorgée de mouille, son clito gonflé par l’excitation. Elle met un doigt dans sa bouche, puis un deuxième. Elle les suce sans me quitter du regard. Putain ce qu’elle peut être bandante… Je commence à me lever pour aller fermer la porte à clef mais elle me rassoit d’un geste léger de la main. Ça l’excite de pouvoir être surprise en train de baiser. Moi aussi, ça me donne envie de la prendre fort et de la faire crier comme jamais. Je déboutonne le haut de mon pantalon, elle me fait non de la tête. Elle me dit qu’elle veut que je jouisse sans la pénétrer… et elle écarte sa culotte pour me montrer sa chatte. Elle va me rendre dingue. Je rapproche mon visage au plus près de sa vulve bien rose. Je sors la langue et titille avec le bout de la langue le bouton de son clitoris. Une secousse la traverse. Elle saisit ma tête entre ses mains et la fourre dans sa chatte. Elle veut que la lèche bien, vraiment bien, à pleine bouche. Je commence par ses lèvres, entre lesquelles j’insère ma langue après les avoir parcourues avec délectation. Je goûte en même temps sa cyprine délicieuse… Sa chatte est de plus en plus humide. Avec deux doigts, je commence à caresser sa vulve tout entière, en appuyant sur les zones les plus sensibles et en frôlant son clitoris. Elle se cambre, parcourue de frissons de plaisir. Putain, qu’est-ce que j’ai envie de la prendre… M’enfoncer dans sa chatte si chaude et trempée… Mon téléphone sonne, je m’en fiche, je ne veux qu’elle, et tant pis pour mes rendez-vous professionnels. Je continue de la caresser et ses gémissements se font de plus en plus forts. Elle se touche les seins, les serre entre ses doigts… Je la pénètre avec mes deux doigts, d’abord tout doucement, puis de plus en plus profond. J’accélère la cadence, en rythme avec sa respiration.

Enfoncée sur mes deux doigts

Avec mon autre main je vais caresser ma queue sous mon pantalon… Je suis tellement dur et excité, que juste quelques caresses me donnent déjà envie de jouir… Je sens le sang battre en elle. Je vais exploser dans pas longtemps. Elle aussi. On toque à la porte : « Pas maintenant ! ». Ça m’excite encore plus de savoir qu’un collègue se tient là derrière la porte pendant que j’ai la tête entre ses jambes. Elle aussi, ça la fait partir… Elle me saisit le poignet et me guide pour que j'aille encore plus vite en elle. Je crochète mes doigts pour stimuler son point G, et elle se cambre encore plus, à bout de souffle. Elle est tellement sexy… Je sors ma bite de mon pantalon et me branle à fond… « J’ai tellement envie de te prendre, là, sur le bureau… ». Elle me regarde avec des yeux fiévreux qui font grimper mon désir d’un coup. Elle se redresse pour attraper ma nuque et m’embrasser sauvagement. Elle me dit « Pas aujourd’hui » avec une voix assurée et un sourire aux lèvres. Elle s’enfonce de plus en plus sur mes deux doigts et fait bouger son bassin sur ma main. Je sens les contractions de son vagin, ses tremblements… elle va jouir et elle est si bandante que je suis prêt à tout lâcher moi aussi. Elle m'embrasse comme jamais et me mords le cou, et moi je la branle de plus en plus vite et fort. Je ne tiens plus… Je vais décharger dans ma main. Oh, oui… Qu’est-ce que c’est bon, bordel… Je rejette la tête en arrière, ferme les yeux pour reprendre mes esprits. Je l’entends descendre du bureau, à bout de souffle. Elle s’agenouille devant moi, plante ses yeux dans les miens et prend délicatement ma main pour y lécher mon sperme. Puis elle m’embrasse, se relève et réajuste sa jupe, son chemisier, ses cheveux. Je suis sans voix face à tant d’assurance et de sensualité. Elle enfile son manteau et me lance un « À bientôt, docteur », avant de claquer la porte. Elle va me rendre dingue.