Lâcher du lest

Mon fantasme interdit

Encore un samedi au boulot… Pourquoi suis-je devenu architecte, déjà ? Heureusement que t’es là, avec ton sourire si charmant que j’en oublierais presque que c’est ta faute, si je bosse le weekend. J’ai du mal à ne pas t’observer. Il faut dire que tu es habillée de façon plus décontractée qu’en semaine, avec une jupe courte, et un chemisier blanc, légèrement décolleté… Je jubile intérieurement quand tu t’agenouilles sur une chaise pour modifier la maquette, et que les formes de tes fesses s’offrent à ma vue. On dirait que ta jupe est sur le point de craquer. Es-tu vraiment inconsciente du désir que tu suscites ? Ou tu le fais exprès, pour t’amuser à mes dépends ? Vers dix-huit heures, on se rend compte qu’on n'arrivera pas à finir ce projet ce soir, et qu’on va devoir s’y coller à nouveau demain. Tu me lances un regard noir et me reproches d’avoir tardé à effectuer une tâche. Je tente de calmer le jeu : « Tu sais, t’es pas obligée de passer tes nerfs sur moi, il y a d’autres manières de lâcher du lest. ». Tes yeux rivés dans les miens, tu me demandes ce que je fais pour décompresser, si je médite ou si je suis plus du genre à me branler aux toilettes. Je suis sans voix, et avec un sourire narquois tu en conclues que t’as vu juste. Tu prétends que la prochaine fois que je reste trop longtemps aux toilettes, tu viendras me déloger. Amusé je te défie de le faire vraiment. Je me demande si tu oserais vraiment faire ça, et je bande rien que d’y penser. J’essaie de me calmer mais je te vois te lever et prendre la direction des toilettes. L’idée que tu sois peut-être en train de te caresser dans les toilettes m’obsède, et mon excitation grandit. Je me lève d’un bond, presque inconsciemment. Il faut que je me branle : c’est impossible de travailler dans cet état.

Te rejoindre dans les toilettes

Je suis dans les toilettes des hommes, et je me rends compte que tu es toujours dans celles des femmes. Et si tu m’attendais ? J’entre discrètement dans les toilettes des femmes. Une cabine est fermée. Je reste silencieux, sans oser ouvrir la porte. L’idée que tu me vires pour comportement inapproprié m’effraie, mais je prends mon courage à deux mains. Je marche bruyamment pour être sûr que tu m'entendes entrer. Je m’arrête et, au bout d’un long silence, j’entends un léger gémissement. Je m’approche lentement de la porte et un nouveau gémissement de plaisir résonne. Je pose une main hésitante sur la poignée. J’attends un autre signal d’encouragement… Ton gémissement gagne en intensité. J’ouvre alors lentement la porte. Tu es assise, tout habillée, sur les toilettes. Je m’approche lentement. Tes yeux transpirent le sexe. Je saisis doucement ta main droite et aperçois tes doigts brillants. Je te regarde dans les yeux avant de les porter à ma bouche, et de goûter ta cyprine salée. Tu souris, tout en écartant légèrement les jambes. « Remets tes doigts où ils étaient, fais comme si je n’étais pas là. ».Tu glisses délicatement ta main sous ta jupe. Tu penches ta tête en arrière, le cou tendu. Je t’embrasse là, te mordille, et fais descendre ma bouche entre tes seins, tout en me touchant à travers le tissu de mon pantalon. Tu tends ton autre main vers moi et explores les contours de mon sexe. Lentement tu dézippes ma braguette, pour libérer mon sexe tendu à travers mon caleçon. J’écarte légèrement tes jambes, ce qui fait remonter ta jupe, et je peux apercevoir ton majeur caresser ton clitoris. Cette vision m’électrise totalement. Ton regard provoquant rencontre le mien. Tu passes ta langue sur tes lèvres, puis tu rentres deux doigts dans ta chatte, en laissant échapper un long gémissement de plaisir.

Par derrière contre la porte

Je mets ma main dans mon caleçon pour me branler plus vite. Puis je m’agenouille, le visage à quelques centimètres de ta chatte. Ma bouche se précipite vers ta culotte et l’embrasse. Ma langue passe par petites touches sur le tissu mouillé. Tu gémis de plaisir. À travers ta culotte, je sens ton clitoris gonflé, dur… Mes mains parcourent tes cuisses et remontent sous ton chemisier, pour agripper tes seins à travers ton soutien-gorge. Tu enlèves ta culotte en haletant. Je replonge entre tes jambes, pour insérer ma langue dans ta chatte dégoulinante. Tu poses ton pied droit sur mon épaule et tu me fais reculer doucement. Je me relève, mes yeux plongés dans les tiens. J’attends tes commandes, comme si la hiérarchie prévalait toujours. Tu te relèves, et dans un chuchotement tu me demandes de te baiser. Je te retourne et m’agenouille pour admirer ton postérieur. Je le mords. Puis ma langue glisse et s’enfonce dans ton vagin, tandis que je caresse ton anus avec mon doigt. J’agrippe fermement tes fesses parfaites… Tu grognes d’excitation en te penchant contre la porte. Je sors mon sexe de mon caleçon. Je me relève si près de toi que mon pénis frôle ta croupe, effleure ta vulve… Je serre fermement ton cul avant de me pencher sur toi pour te mordiller le cou. Tu gémis de plaisir. Je saisis une capote dans mon portefeuille et l’enfile. Puis mon pénis s’arrête à l’entrée de ta chatte et joue avec tes lèvres et ta frustration. Tu recules ton cul pour y mettre fin mais je continue ce jeu jusqu’à ce que tu me supplies de te baiser. Je te pénètre alors très lentement, pour que tu sentes chaque centimètre de ma queue s’insérer en toi. Tu es complètement penchée en avant, tes deux mains s’agrippent à la poignée de la porte.

Te baiser face au miroir

Ton cul vibre à chaque coup de hanche. Tes gémissements gagnent en intensité… Tu m’excites tellement… J’accélère la fréquence et la puissance de mes va-et-vient. Je te retourne face à moi, passe mes mains sous tes cuisses et te soulève. Tu ouvres la porte. Je te porte jusqu’au lavabo et te pose négligemment sur la table, dos au miroir. Je m’agenouille pour te lécher lentement, aller entre tes grandes lèvres, de bas en haut. Le changement de rythme et d’intensité te surprend et t’excite au plus haut point. Tu penches ta tête en arrière, contre le miroir, tandis que ma langue s’agite en toi… te pénètre et vient presser contre ton clitoris. Tu ondules au rythme de ma langue, et tes gémissements se transforment en cris… Je ne tiens plus. Je me relève et te pénètre de nouveau. Dans cette position, je vais et je viens si profondément en toi… Je te sens parfaitement, chacun de tes mouvements de bassin, les contractions de ton vagin autour de ma queue… Dans le miroir derrière toi, je me vois te baiser, un fantasme devenu réalité. Tu te caresses en même temps et tu te mords les lèvres de plaisir pour étouffer tes cris. Tu masses ton clitoris avec de plus en plus d’intensité. Je suis si proche de l’orgasme. Je tente de te faire jouir avec mes derniers mouvements. Je t’embrasse et te mords la langue. Je m’effondre presque par terre et je te regarde accélérer tes caresses. Tes jambes s’affolent et tu jouis. Les spasmes parcourent ton corps, tes cris font écho dans le bureau… Tu mets une bonne minute avant de récupérer ton souffle. En rentrant chez moi, je suis déjà impatient de retourner travailler demain, et de te retrouver.