Home office

Si tes collègues voyaient…

Tu es très belle ce matin. Tu fais ta moue des mauvais jours, quand tu as mal dormi et que tu préférerais passer la journée emmitouflée sous la couette. Tu pianotes sur ton clavier d’ordinateur sans grande conviction, de la fumée s’échappe de ta tasse de thé. Je te regarde du coin de l’œil : tu n’es jamais aussi belle que quand tu ne le sais pas. Ton téléphone sonne, tu me lances un regard blasé mais complice, tu décroches et enfile ton casque. Encore une de ces réunions qui va s’éterniser…Tu portes un t-shirt large et des chaussettes en laine, tu as pris l’habitude de couper ta caméra pour ne pas avoir à t’habiller pour le travail. Tu croises et recroises tes jambes nues en même temps que tu te dandines un peu sur ta chaise. Le ballet de tes jambes m’hypnotise, c’est comme si elles s’enroulaient autour de moi. De là où je suis, j’arrive à distinguer la finesse de ta peau, et ce grain de beauté en haut de ta cuisse droite… Tu m’excites. Je sens ma queue se gonfler à mesure que tu continues de bouger. J’approche ma chaise et m’assois derrière toi. Tu tournes rapidement la tête, tu me souris, je te souris. Je t’enlace au niveau de la taille et glisse une de mes mains dans ta culotte. Tu tressailles, me chuchote qu’on pourrait nous entendre en même temps que tu écartes tes cuisses, un sourire malicieux aux lèvres.

Gémir en silence

J’humidifie mes doigts avec ma salive, avant de les faire courir sur ton clitoris et entre tes petites lèvres. J’effleure les recoins de ta chatte, d’avant en arrière, te caresse chaque fois un peu plus intensément. J’insère mon index entre tes lèvres, puis mon majeur. Je fais des mouvements circulaires tout en les bougeant d’avant en arrière. Je titille ton clitoris avec mon pouce. Je pose mon autre main sur ta bouche pour étouffer tes gémissements. J’aimerais avoir plusieurs mains pour pouvoir pétrir tes seins et les balader sur tout ton corps. Tu me submerges. Le désir me submerge. Tu ondules ton bassin, je viens ajouter mon annulaire dans ta chatte. Tu mords la paume de ma main et commences à me lécher et me sucer les doigts avec voracité. « Et ta réunion, alors ? ». Pour toute réponse, tu aspires mon majeur entre tes lèvres. J’enfonce mes doigts plus profondément dans ta chatte et pianote à l’intérieur. Je sais que tu aimes ça. La cyprine inonde mes doigts et coule jusqu’à mon poignet. Je suis toujours derrière toi. Tes mains cherchent frénétiquement les boutons de mon pantalon. Tu peux sentir ma queue tendue comme un arc. Tu la sors et commences à me branler avec application. J’ai envie que tu me suces. J’ai envie de sentir ta langue qui s’enroule autour de ma queue. Oh oui… Je me lève soudainement et te retourne.

Tout décharger dans ta bouche

Tu me regardes, fiévreuse, soumise. J’ouvre grand ta bouche avec mon pouce et y insère ma queue. Tu gémis et me suces goulûment. Je maintiens ta tête à l’arrière et fais des mouvements de va-et-vient avec mon bassin. Tu lèves les yeux vers moi, coquine, en même temps que je vois ma queue disparaître dans ta bouche. J’aime quand tu me suces comme ca, comme si tu voulais que je sois partout en toi. Tu te masturbes en même temps. Je peux mesurer ton excitation à la voracité avec laquelle tu me lèches. Tu ouvres la bouche de plus en plus grand pour que je puisse aller de plus en plus profond. Je te baise la bouche comme si je te prenais par derrière. Je t’entends gémir de plus en plus. Tes doigts s’agitent sur ta chatte, leurs mouvements se font plus intenses et saccadés. Tu halètes en me suçant. Tu m’aspires le gland comme si tu voulais boire mon sperme. Tu me supplies de venir. Je ne tiens plus. Oh oui. C’est si bon… Je décharge dans ta bouche. Le flot jaillit puissamment. Tu l’avales, bascules ton bassin en avant et te cambres sur ta chaise. Je m’accroupis vers toi. Ma queue est encore dure. Je te l’enfonce du plus profond que je peux dans la chatte. Tes mains se crispent sur mon dos. Je mets ma main sur ta bouche pour étouffer le son de ton orgasme. Tu jouis fort. La secousse traverse tout ton corps. Si tes collègues savaient ce qu’il se passe à l’autre bout du fil…