Golden shower

Mon jeu, mes règles

Il m’a demandé de le retrouver à l’hôtel en précisant qu’il voulait, ce soir, être mon obligé. Oh oui, j’ai bien l’intention qu’il rampe à mes pieds. Je passe le seuil de l’hôtel et traverse un hall cossu et clinquant. Je me dirige vers la réception et donne mon nom. L’employée me tend une enveloppe à mon attention. Je la prends, me recule pour l’ouvrir. Elle ne contient qu’un message sobre et direct : “Je t’attends dans la chambre 312”. Je trouve sa formulation très impérieuse pour quelqu’un qui prétend vouloir être mon obligé. Ça ne va pas se passer comme ça. Je regarde autour de moi et découvre le bar de l’hôtel, derrière une jolie porte vitrée. Je commande un verre et lui envoie un message : “Bar de l’hôtel”. Ni plus, ni moins. Présomptueux comme il est, il a dû croire que je me présenterais directement à la porte de sa chambre, comme servie sur un plateau. Il apparaît soudainement, s’arrête un instant pour scruter la pièce avant de croiser mon regard. Il est vraiment, vraiment très beau : grand, des yeux perçants, une allure élégante et décontractée. Le genre de mec à qui tout réussit, qui a la maîtrise de sa vie et adore perdre le contrôle avec une femme comme moi. Alors qu’il s’avance vers moi, je laisse tomber par terre le bol de cacahuètes posé devant moi. Le bruit de la chute est étouffé par la moquette du bar mais l’action ne lui a pas échappée. Il s’immobilise. D’un claquement de doigt, je montre les cacahuètes éparpillées au sol, et lui murmure “Ramasse” d’un ton sec. Dans son regard, je vois passer une étincelle, et sa bouche s’entrouvre, comme s’il était transpercé par un pic de plaisir. Il s’agenouille devant mon tabouret et s’empresse de réparer ma “maladresse”. Les autres ne semblent pas remarquer notre manège, dans la lumière tamisée. Il se relève et pose le récipient devant moi en me chuchotant « Voilà, Madame. ». Sa voix est veloutée et chaude, très grave.

Il est ma chose

La barmaid revient vers nous et lui demande ce qu’il veut boire. Je le regarde de haut en bas et réponds à sa place que « Monsieur n’a pas soif. ». Il baisse la tête, docile, et cette attitude serviable contraste avec sa carrure. Il me donne envie de le gifler, de l’humilier autant que de lui sauter dessus. Je me lève et, d’un claquement de doigt, lui ordonne de me suivre. Sans me retourner, je traverse le hall jusqu’à l’ascenseur. Lorsque les portes se referment sur nous, je me place à quelques centimètres de lui, et lui ordonne : « D’abord, je veux que tu embrasses mes pieds. Mets-toi à genoux, voilà… comme ça. Ça t’excite que je te dise quoi faire ? Que je te rabaisse ? Tu vas remonter le long de mes jambes. Je veux que tu embrasses, que tu lèches chaque centimètre carré de ma peau comme si c’était la meilleure chose que tu aies jamais goûtée. ». Je sens sa bouche se poser contre mes bas, son souffle et ses lèvres effleurer mon mollet, et remonter vers le creux du genou… Je frissonne mais j’essaye de tenir mon rôle. L’ascenseur s’immobilise alors que sa bouche commence à remonter le long de ma cuisse. Un claquement de doigts, et il s’arrête instantanément. Je sors de l’ascenseur et il me suit, docile. La chambre est grande, feutrée et luxueuse. Sans rien lui dire, je lui fais signe de se remettre à quatre pattes et de ramper jusqu’à mon fauteuil. Je décroise les jambes alors qu’il entreprend d’enlever mes bas. À mesure qu’il les descend, il prend bien soin d’embrasser et lécher chaque centimètre carré de ma peau. Je me retiens de l’embrasser et de lui ordonner de me prendre tout de suite. J’ai envie de tester ses limites, voir jusqu’où il veut se faire humilier. Je veux qu’il s’oublie complètement, que son ego disparaisse, qu’il devienne… ma chose.

Lèche-moi bien !

Je me penche vers lui, pour lui offrir un baiser long, langoureux. J’aime son goût, sa chaleur, son odeur. De la pointe du pied, je viens caresser son entrejambe, et je le sens frémir, ses dents viennent mordiller mes lèvres d’impatience. Lentement, je le fais basculer en arrière. Il s’allonge par terre, sur le dos. Je me lève, remonte ma jupe en le toisant, et me place au-dessus de son visage. Il ne peut pas s’empêcher d’émettre un gémissement rauque quand il voit que je n’ai pas de culotte. « Lèche, lèche-moi bien. ». Je m’accroupis sur son visage, et il m’attrape les fesses pour pouvoir enfouir sa langue en moi. Je sens sa langue s’écraser de tout son plat contre ma vulve. J’écarte encore plus les cuisses pour exercer plus de pression sur son visage. Il étouffe un cri et agrippe la chair de mon cul avec délectation. Sa langue s’enfonce dans ma chatte, presque aussi dure qu’un doigt. J’ondule un peu du bassin, pour le faire s’aventurer vers mon anus. Il s'applique, il fait ça si bien… Je veux qu’il aille encore plus vite, plus fort… Il fait pression sur mon clito, en rythme, il lape et appuie pile au bon endroit. Cette pression, sur mon bas ventre… je sens que je ne vais pas tarder à jouir. Il me dévore la chatte et le cul, il aspire, se délecte de ma mouille. Je me mets à genoux et me relève pour le regarder. « Non, non, non. Je vais encore jouer un peu avec toi. ». Ça m’excite de le voir à ma merci… Dans un murmure, je lui ordonne de se branler. Il engouffre sa main dans son pantalon, avec fébrilité, sans me quitter des yeux. Je vois sur son visage le plaisir qui grandit, tandis qu’il se caresse de plus en plus intensément. Je glisse deux doigts entre mes lèvres, les écarte pour lui montrer ma chatte ouverte et humide. Il gémit, subjugué par cette vue que je lui offre. Je commence à me toucher, moi aussi, on se regarde et on fait monter la pression entre nous. Je me mets debout et me positionne au-dessus de son visage, les jambes bien écartées. Son beau visage, j’ai tellement envie de le souiller… Il hoche la tête, l’air implorant : il sait ce qui l’attend, il ne veut que ça. Je me détends complètement et commence à uriner sur lui. J’observe le liquide légèrement jaune et chaud se répandre sur ta tête… Chaque goutte semble lui faire un choc de plaisir : il gémit, se branle de plus en plus fort à mesure qu'il essaie de boire le liquide chaud qui s’écoule de moi. C’est délicieux de le voir, comme ça, si soumis…. Je commence à me doigter en le regardant, alors que ma pisse coule encore un peu sur lui. Je tapote mon clitoris en même temps. Je le sens au bord… Il pousse des grognements de plaisir, sa queue tendue et parcourue de veines entre ses doigts. Je lui interdis de fermer les yeux. « Regarde-moi me branler sur toi. ». Sa tête bascule en arrière, sa bouche est encore ouverte, il pousse un râle. Oh oui… Mes jambes fléchissent, et je m’effondre sur lui. D’un air tendre et ferme à la fois, je lui ordonne de tout nettoyer, avant de me relever, baisser ma jupe et tourner les talons.