Du verre et du velours

L'attente

J'attends patiemment que la sonnerie retentisse. J’suis assise sur un fauteuil imposant, en cuir, avec un dossier et des accoudoirs en velours violet. Je souris en repensant au paquet que j’t’ai envoyé la semaine dernière : un ensemble bas résilles et porte-jarretelles, un peu cliché… mais je sais que ça t’ira à merveille. Ah et oui, il y a aussi ce corset à lacets, parfait pour bomber tes seins et les garder en place. Je t'ai ordonné d'attacher tes cheveux en une queue de cheval haute : aussi serrée et soignée que possible. J’ne veux pas que tes cheveux couvrent ton beau visage. T’as promis que tu viendrais en ayant déjà enfilé ta tenue, cachée sous un long manteau.

L'arrivée de l'invitée d'honneur

Tu sonnes enfin à la porte, et j’me dirige lentement vers l'interphone. Je te fais mijoter quelques secondes avant de te laisser entrer. J'ouvre la porte et je retourne au salon, sans t’attendre. J’entends tes pas qui se rapprochent, puis le bruit du manteau que tu retires. Il y a un léger silence avant que tu me demandes ce que tu dois faire de tes chaussures, puisque je n'ai rien précisé à ce sujet. D’un ton ferme, j’annonce : “Pas de chaussure cette fois”. Tu t’arrêtes à la porte du salon, la tête penchée sur le côté, souriante. Tu ne t’aventures pas directement dans la pièce. Tu l’observes : le fauteuil qui trône au milieu, au pied duquel est posé un oreiller en velours, et, à côté, une petite table sur laquelle sont posés deux verres d'eau et une boîte mystérieuse.

Le rapprochement

Tu complimentes ma tenue et j’ai du mal à cacher ma joie. En plus de mes bottines compensées, je porte une combinaison transparente et moulante, ouverte au niveau de la poitrine, l'entrejambe et le dos. Tu t'approches lentement de moi, en arborant un regard aguicheur… Tes jambes se croisent et se décroisent avec sensualité. Tu te tiens devant moi et me toises avec majesté. Tes mains agrippent les accoudoirs et ta bouche descend sur ma nuque. Tu t'agenouilles en face de moi, tes mains glissent sur le velours du fauteuil pour atteindre mes genoux. Tu les agrippes et écartes mes jambes, tout en te penchant doucement en avant pour te rapprocher de ma chatte. Le bout de ta langue apparaît entre tes lèvres qui dessinent un doux sourire. Tu ressembles à un chaton, avide de laper du lait.

Le redressement

Ta langue se rapproche de mon entrejambe découverte… Elle glisse à plat, de l'ouverture de ma chatte jusqu’à mon clitoris. Un interminable coup de langue… Je te regarde en silence pendant que tu répètes le mouvement encore… et encore. Dès que tu atteins le sommet, ta langue recule pour s’élancer de nouveau le long de ma vulve. Bien qu’excitée, je t’arrête d’un autoritaire : “Tu es si douée… Mais fini de jouer.“ Je tapote ta tête deux fois pour que tu t'arrêtes. “Tu dépasses les bornes, ma chérie. C’est moi qui suis aux commandes.“ J'attrape ta nuque et presse ta bouche contre ma chatte. T’aimes la lécher, hein? Je sens les vibrations de ton gémissement contre mon clitoris. Avec mon autre main, je saisis un objet dans la boîte à côté. Je tire ta queue de cheval pour que tu relèves ton menton et je t’ordonne de garder la bouche ouverte. J’enfile un bâillon autour de ta tête, qui écarte ta mâchoire. Je le serre fermement derrière ta tête, pour garder ta bouche bien ouverte et pleine.

Encore plus fort ?

“Penche-toi en avant. Pose tes seins sur le fauteuil et montre-moi ton cul.” Tu le tends vers moi et j'entends ton rire piégé derrière le bâillon. Je dénoue l’épais ruban que j'avais attaché autour de ma taille et je noue tes poignets avec. “J'te trouve gourmande, ce soir… même un peu trop. C’est une fessée, que tu veux ?” . Je te le demande à plusieurs reprises, tandis que je caresse ton dos et me délecte de tes frissons. J’atteins ta chatte et la taquine du bout des doigts, avant de placer ma paume à plat sur ta vulve, pour te donner des petites tapes. Je commence doucement et j'entends tes gémissements contenus derrière le bâillon. “Tu veux que j’y aille plus fort ? … Avec plaisir.” Je frappe mes doigts plus fort et plus vite contre ta chatte tandis que tes gémissements gagnent en intensité. Je m'arrête pour frotter de haut en bas tes lèvres gonflées. Je t'entends marmonner. J’approche mon visage du tien pour te demander ce que tu veux. “Encore plus fort ? Je ne peux pas faire ça, tu sais que je ne te ferais pas de mal. ”

Le jouet en verre

Je contourne le fauteuil pour récupérer un dernier objet dans la boîte : un dildo en verre, ton préféré. Je frappe ma paume avec et le son t’excite. Tu te doutes déjà de ce que c’est. J'appuie le dildo contre ta chatte et le fais glisser entre tes fesses. Tu te cambres sous l’effet du contact froid. Un râle de plaisir s’échappe de ta bouche bâillonnée. “Tu l’aimes, ce gode en verre, hein ?”. Tu acquiesces et remues ton cul, pour me demander de pénétrer. Je te fesse avec force et tu enfouis ton visage dans le siège de la chaise. Qu’est-ce que j’aime te rendre dingue, comme ça… Je caresse la zone que j’ai fessée et j’y dépose un doux baiser. Je laisse de nouveau le dildo glisser le long de ta raie de fesses, avant de l’insérer lentement dans ta chatte, trempée de désir… Mmmh… T’es juste tellement excitante… Je fais aller et venir le dildo une, deux, trois fois en toi… tandis que toi, tu te tords de plaisir… Puis je te fesse encore. T’aimes tellement ça, que je te punisse parce que t’es trop impatiente. Ton corps se tend à chaque claque et tes gémissements me confirment que t’es au paradis. Je lèche tes fesses, les mordille et les claque, encore et encore…

Prête à jouir ?

J'enfonce le gode en verre profondément dans ta chatte et tu laisses échapper un gémissement intense. Je le laisse là pendant que ton corps se contorsionne, rassasié de plaisir. J'aime voir à quel point t’as envie d’être baisée. Tellement à cran que le moindre contact te fait l’effet d’un choc électrique… et moi aussi je suis électrisée par tout ça, j’me branle de plus en plus fort…
Je retire le gode et enfonce deux doigts en toi, pour sentir ta chatte délicieusement serrée. Et j'entends des cris de plaisir s’échapper de toi, tandis qu’avec mes doigts je t’explore… Oh bordel, tu me rends folle de désir pour toi…“Et maintenant, t'es prête à jouir?”. Le gode en verre vient remplacer mes doigts, et je fais des allers-retours rapides et puissants, tout en tenant ton bassin avec mon autre main, pour contrôler le mouvement et la profondeur. J'entends ta respiration s’alourdir, tes cris devenir presque obscènes, et je sais que tu y es presque… J'atteins ton point G, le stimule encore et encore et, juste avant que tu jouisses, je mords ton délicieux cul, et je le garde en bouche tandis que tu trembles de façon incontrôlable. Oh oui, jouis pour moi… Oh, ma belle… si tu savais comme tes orgasmes me procurent le plus grand plaisir. Au final, c’est moi qui suis à ton service.